NATACHA SARDOU est l’auteure de la pièce, elle en est aussi la comédienne et la scénographe. Après des études théâtrales au Cours Florent, attirée également par l’écriture et la pédagogie, elle se tourne un temps vers les études universitaires pour préparer un diplôme de professeur de français et obtient un DEA et un CAPES de Lettres Modernes. Après avoir hésité entre l’enseignement et les métiers artistiques, elle finit par revenir à sa passion première, le théâtre.
COMEDIENNE
Elle a participé à divers projets en tant que comédienne (comédies, café-théâtre, théâtre contemporain) mais n’a jamais laissé de côté le contact avec les enfants. Elle a notamment participé à différents spectacles jeune public (Au Pays des dékliks enchantés de Corinne Aubert, Croch et Tryolé de Julien
Sigalas, Princesse Rose et ses talents, La Poupée automate, L'Aventure de l'Inventeur et La Sorcière qui n'aimait pas Noël, ses
propres créations).
AUTEURE
Elle est aussi l’auteure et l’une des comédiennes de spectacles Jeune public à destination des 4-10 ans (Princesse Rose et ses talents, qui en est à plus de 200 représentations
depuis 2011, La Poupée automate, L'Aventure de l'Inventeur et La Sorcière qui n'aimait pas Noël). En 2013, elle se lance dans le spectacle Très
jeune public avec La Ferme aux animaux adressé aux 1-4 ans, qu'elle joue en crèches et au théâtre. Le Noël de Nini est sa deuxième réalisation pour le Très
jeune public et une création de l'hiver 2013. Elle a ensuite également écrit La Saga de la savane, Le Jardin d'Augustin, Fifou ! Au pays des
couleurs, A la mer..., Le Grand lutin du Père Noël et Ornitho... Quoi ?
SCENOGRAPHE
Elle a décidé de créer elle-même le décor du spectacle, en se basant sur des dessins très visuels qui représentent les animaux sur des panneaux pivotants, que les enfants peuvent
venir revoir et toucher à la fin du spectacle.
Elle y a adjoint certains éléments caractéristiques des animaux (la carotte pour le lapin, la pelote de laine pour le mouton...) qu’elle fait tenir sur ces panneaux grâce à des aimants.
Sans oublier le choix de la poupée pour représenter la petite Marie que l’on finit par retrouver endormie derrière une meule de foin (moralité, elle aurait dû aller faire sa sieste finalement !).